Ce que l’IA ne goûtera jamais :
notre soirée 5 sens au Pasta Pooks

Tu peux demander à une intelligence artificielle de te décrire un plat, de te résumer un menu ou de t’expliquer la différence entre des gnocchis et des tagliatelles… Mais elle ne pourra jamais vivre ce qu’on a vécu ce soir-là, entre les odeurs de pesto et les échos de salsa, tout près de la Petite Italie, en plein cœur du Mile-Ex qui vibre.

Parce que manger, c’est bien plus qu’un acte nutritionnel. C’est une explosion de sons, de parfums, de textures, de couleurs… Et surtout, c’est une affaire de feeling. Ce soir-là, nos 5 sens ont dansé. Et nos cerveaux ont eu un petit orgasme gustatif collectif.

Scène d’ouverture : Montréal dans toute sa splendeur

On débarque, et bam! Le décor : des graffitis punchés sur les murs d’en face, des chaises jaune flash sur le trottoir, un petit parc au coin où ça danse la salsa sous un gazebo. Le genre de vibe qui te donne l’impression de te faire un câlin urbain dès que tu poses le pied sur le trottoir.

Un resto de coin cute avec une terrasse qui déborde d’énergie. Un sourire chaleureux nous accueille. Déjà, on sait qu’on est tombé sur un bon filon.

L’ambiance : ça jase, ça rit, ça vit

Montréal fait ce qu’elle fait de mieux : du bruit qui fait du bien. Des enfants jacassent à la table voisine, une playlist cool coule doucement du speaker, et la salsa du parc s’invite discrètement dans notre assiette. Même l’air semble avoir mis sa chemise hawaïenne.

Le nez en voyage

Les effluves arrivent comme des indices d’un trésor caché : pesto frais, légumes du marché, et… oh! cette friture dorée des fleurs de courgettes! Même le vin sent les vacances en Méditerranée. Et ouais, un petit parfum d’été sur l’asphalte en prime — Montréal style.

La vedette : leurs pâtes maison

Sur Google, Pasta Pooks brille avec un solide 4,5 étoiles. Et ce n’est pas juste pour faire joli. On confirme : leurs pâtes fraîches faites à la main sont de vraies rockstars. On sent la passion, l’amour, et peut-être même un soupir de Dolce Vita dans chaque bouchée.

Oui, c’est vrai : il faut parfois attendre. Mais quand l’expérience est aussi sensoriellement satisfaisante, on attend avec un sourire.

Les plats : un ballet de textures et de saveurs

On touche les pâtes… des yeux. Puis de la fourchette. Puis de l’âme.

Les gnocchis au pesto de pistache, c’est un petit nuage vert à la tendreté cosmique. Les tagliatelles à la bolognaise nous réconfortent comme une couverture chauffante un soir de janvier. Avant ça, on a craqué pour les radis-concombres croquants et les fleurs de courgettes crousti-fondantes. De la simplicité maîtrisée à son meilleur.

On finit en douceur avec une panna cotta onctueuse, la touche finale qui te donne envie d’applaudir. Ou de commander une autre portion.